LES MEMOIRES D'UNE DOMINATRICE TRANSEXUELLE PREFACE La lecture de ce livre est interdit aux personnes de moins de 18 ans. J'attire l'attention de toutes personnes qui seraient en possession de celui ci, de ne pas le laisser à la porter des personnes mineures et des personnes sensibles. Certaines narrations peuvent heurter la sensibilité de personnes fragilisées psychologiquement. Le sujet aborde une sexualité sado masochiste, et donc réservé strictement à un public averti. Dans cet ouvrage je vous conte avec la plus grande sincérité, ma vie quotidienne de dominatrice transexuelle, avec mes joies, mes peines, les imprévus, et les invraisemblances. Bien sur il est en me devoir de préserver l'anonymat de beaucoup de personnes mentionnées dans mes mémoires, afin de ne pas nuire à leurs vies professionnelles et familiales. Pour cette raison j'ai du changer des noms et des lieux, et parfois taire certains événements qui pourraient révéler l'identité de certaines personnes. Je parlerai aussi de ma chère soeur jumelle, qui joue un grand rôle dans ma vie, et à qui je dois l'idée d'écrire mes mémoires, qui d'après elle, ne doivent pas rester secrètes. Trop d'intrigues, trop d'événements, trop de d'histoires, trop d'anecdotes originales et invraisemblables ne doivent pas rester dans l'oubli. Mon vécu intéressera aussi bien les sociologues, que les sexologues, que les psychologues, que les adeptes des pratiques sado masochistes, que l'on retrouve dans le quotidien. Je décrirai dans les moindre détails, des scènes de domination que je déconseille aux personnes sensibles, et que j'interdirai aux mineurs qui en connaisse déjà trop sur ce sujet. Vous n'échapperez pas non plus aux scènes dramatiques, et également aux scènes comiques dans lesquelles j'ai été confrontée. Que voulez vous ce n'est pas un conte de fée, ni de la fiction, mais de la pure vérité
DOMINATION D’UNE JEUNE SOUMISE
Comme chaque jour, je sortais de chez moi maquillée sévèrement, mes longs cheveux relevés et tirés en un chignon impeccable, mes deux longues bouc d’oreilles pendaient comme deux fouets. Je me sentais bien dans ma peau, bottées de cuissardes en cuirs noirs, dont les talons pas trop hauts me permettaient de marcher beaucoup sans qu’ils s’abîment trop vites, et dans mon long manteau de cuir, qui cachait une mini jupe en cuir, une guêpière en vinyle, et de longs gants de cuir noirs. Ainsi vêtue, j’étais prête pour aller à la chasse aux esclaves. D’innombrables regards se jetaient sur moi de manière plus ou moins discrète. Certains étaient admiratifs, d’autres simplement curieux, et d’autres encore exprimaient une agressivité malsaine, issue de la jalousie pure et simple, et semblaient me reprocher de ne pas être à leurs côté pour les mettre en valeur, ou tout bonnement de ne pas être à ma place. Autant je rendais un sourire furtif aux regards admiratifs, autant j’ignorais ceux qui étaient agressifs. Je m’éloignais de ce peuple sans intérêt pour moi, dans une démarche légèrement déhanchée, tout en restant sereine et inaccessible. Mon parfum agressif et très féminin, qui s’étendait sur mon chemin, donnait le ton de ma majestueuse personnalité que l’on admire, vénère, idolâtre, mais aussi qu’on jalouse.
En arrivant vers la tour Eiffel, les regards bêtes et méchants avaient disparus. Plus de jalousie envers moi, car n’importe qu’elle personne sur la seconde avait possibilité de me ressembler et de me côtoyer. Si on m’observait, c’était en toute discrétion, et avec le sourire et la courtoisie. On osait m’aborder et me parler sans complexe. Je me sentais plus dans mon monde, dans un environnement qui n’avait aucune hostilité envers la beauté, la classe, et les femmes sexy. Où une call girl et une bourgeoise ne pouvait se distinguer l’une de l’autre. Les admirateurs et les admiratrices ne manquaient pas à l’appel, lorsque j’aperçu assise sur un banc, une jeune fille aux longs cheveux blonds naturels, qui portaient à ses pieds une paire de sandalettes en cuir marron du style religieuse, un pantalon en cote de velours noir, et un anorak beige. Mon cœur se mis à battre rapidement, c’était un miracle, c’est vrai que nous étions en période de vacances de pâques, que le temps était plutôt aux giboulées, et qu’elle n’était pas chaussée pour affronter cette saison encore très fraîche. Et que parmi toutes ces femmes d’allures dominantes en bottes ou talons aiguilles, qui se promenaient, je n’avais aucun mal à la remarquer, d’autant plus que mon fantasme est de rencontrer et de dominer une femme qui ait les pieds ainsi très aérés. Il fallait à n’importe quel prix que j’établisse le contact. Malgré l’émotion qui m’avait envahi, je parviens à m’approcher du banc avec une démarche de star, et de m’asseoir à coté d’elle avec une voluptueuse élégance. Je croisais aussitôt mes jambes, laissant ainsi voir mes cuissardes entièrement. Je fus accueillie avec un grand sourire, que je lui rendis très largement. L’émotion fit trembler un peu mes jambes, ce qui eut pour effet d’envoyer inopinément le bout pointu de ma cuissarde gauche sur sa jambe. Aussitôt, confuse, je m’excusais auprès d’elle. Un accent nordique ayant un peu de mal à parler français, me dis que cela n’était rien, et elle en profita pour dire que j’étais jolie, et que si j’acceptai elle me photographierai. Sautant sur cette miraculeuse occasion, je m’empressai de lui servir de modèle. Aussitôt je fus mitraillée, par son objectif plutôt sympathique. Après cette séance photo, elle me demanda si il y avait des endroits pour déjeuner. Je lui demandai ce qu’elle désirait manger, quel cadre elle désirait. Avec son accent elle me dit textuellement ces mots: « écoute jolie Mme, je connaître pas Paris, moi voir tout, savoir tout, connaître tout, avoir monnaie pas problème » et elle sortit une liasse de billet, je lui fis signe de les cacher, et lui expliquai qu’il y avait des voleurs partout. Je compris que j’allais être sa guide, et elle ne pouvait pas mieux tomber. Nous marchions dans les allées sablonneuses du Champ de mars, je tentai de marcher le plus près possible d’elle. D’un seul coup elle s’immobilisa, et me saisit la main. Elle retira une de ses sandalettes pour retirer le sable, et en fit autant pour l’autre pied. A la fin de l’opération, elle me remercia, et me déposa un baiser furtif sur la bouche, et me pris par la main, en me disant « j’ai faim beaucoup » et elle ne me lâcha la main, que quand nous fûmes bien à l’abri des regards indiscrets. Elle me demanda d’écarter mon manteau de cuir, puis se mis à genoux devant moi, et resta immobile en m’admirant. Puis d’une main elle souleva ma jupe de cuir noir, et de l’autre saisit son appareil photo, pour prendre quelques clichés. Puis se releva me baisa mes mains gantées de cuir noir, et me fit d’interminables compliments, sur ma beauté, sur mes vêtements, qu’elle aimait les femmes en cuir, tout en enserrant son bras autour de ma taille. J’avais le feu vert pour me coller à elle, et je ne m’en suis pas privée. Elle trouvait cela si bien qu’elle s’immobilisa dans un endroit discret pour m’embrasser sur la bouche, en rentrant sa langue dans mon palais. Mon sexe commençait à durcir, j’enserrai mes jambes bottées de cuir autour des siennes, et j’en profitais pour frotter mes bottes sur ses orteils, et de les piétiner légèrement. Elle laissa échapper un petit râle suivit d’un petit cri de jouissance, pendant ce temps sa courageuse langue envahissait mon palais. Après ce si long et si langoureux baiser prometteur, nous reprenions le chemin en quête d’un bon restaurant gastronomique, elle me reprit par la main, quand une averse soudaine se mit à tomber dans laquelle se mêlait une grêle molle d’apparence neigeuse, nous nous sommes mises à courir pour nous abriter sous une large porte cochère. Elle en profita pour me donner un baiser langoureux, en rapprochant ma tête de la sienne à l’aide de ses deux mains. J’en profitai pour lui monter sur les orteils nus avec mes bottes, ce qui me provoqua une incontrôlable érection. Elle me complimenta, encore une fois de plus sur ma beauté, sur ma coiffure, mon maquillage, mes vêtements de cuir, en insistant bien sur mes cuissardes. La giboulée s’étant calmée, nous sortions de notre abri bras dessus bras dessus, quand un sifflement admiratif retentit derrière nous, et une voix d’homme nous interpellait « Hello les jolies demoiselles, on se promène? » aussitôt ma petite soumise me donna un baiser langoureux, et la voix de renchérir « Alors on se gouine mes jolies ? Ah il y a la Maîtresse avec ses belles bottes, et la boniche, on donne dans le sado maso, moi je lècherai bien les bottes de la Maîtresse, pendant que la bonne la suce » Je me retournais, pour lui demander si il connaissait pas un restaurant gastronomique aussitôt, il proposa de nous accompagner, et je sentis une petite jalousie monter chez ma petite soumise, qui continuait de m’enlacer de plus belle. L’homme nous accompagna dans un bon restaurant, et proposa de nous inviter. J’acceptai l’invitation, malgré les timides protestations de la petite soumise. Je lui dit que c’était moi la Maîtresse, et qu’elle devait m’obéir, sinon, elle serai sévèrement punie, je lui écrasai franchement les orteils avec mes bottes en lui disant cela t’apprendra. Elle me sourit et me caressa mes mains gantées de cuir, et me donna une fois de plus un langoureux baiser, sous les yeux exorbité de l’inconnu. Nous nous sommes installés dans un recoin très discret. J’étais assise à côté de ma soumise, et lui en face de nous deux. Je glissais discrètement à l’oreille de ma partenaire, de choisir les plats les plus chers, et surtout de se priver de rien. Nous prîmes comme apéritif un kir royal, suivi d’une copieuse entrée variée, que ma petite soubrette dévora de bonne appétit. Quand à moi, je mangeai plus lentement, mais mes mains et mes bottes se montraient très baladeuses et très exploratrices, sous la nappe. Je baissais lentement la fermeture éclair de son pantalon à cote de velours noir, tout en rapprochant ses deux jambes vers moi en les enserrant, et en posant le bout de mes bottes sur ses orteils. Le type parla discrètement quand il se proposa de devenir voyeur quand je domine ma soumise, et qu’il se contenterai de lécher mes cuissardes. Je lui répondis, qu’elle devait rejoindre ses parents en vacances en Australie, et que l’on ferai cela à son retour, mais qu’en attendant, je pourrai le dominer seul. Le bourguignon tant sollicité par ma soumise, nous fûmes servis, avec tenez vous bien une bouteille de ’’Romanée Conti’’, le meilleur et le plus cher des vins de bourgogne, de la catégorie des pommards, s’il vous plaît. Elle qui veux goûter aux spécialités culinaires françaises, elle n’allait pas être déçue, et moi non plus puisque pour la première fois de ma vie j’allais déguster ce vin divin dont les connaisseurs, les collectionneurs et les œnologues parlent si souvent. J’admirai le visage émerveillé, et les yeux brillants de ma soumise, lorsqu’elle dégustait son bourguignon et son verre de Romanée Conti. Pendant ce temps j’essayais de ma main droite de faire glisser sa petite culotte, pendant que je maniais la fourchette de la main gauche. Enfin, je parvins à passer mon doigt sur son accueillant minou bien humidifié déjà. Tout à coup une douce main se glissa sous ma mini jupe en cuir noir, et caressa mon sexe en érection prisonnier dans ma culotte en cuir, elle fit glisser celle -ci, et saisi mon sexe qui redoubla de raideur, puis elle m’embrassa langoureusement comme elle en a coutume. Pour donner la réplique, mon majeur effleura son clitoris, tout en tournant délicatement autour de celui-ci. Mon index pris le relais, pour que mon majeur puisse explorer la grotte chaude et humide. De mon côté, deux doigts me faisaient décalotter dans des vas et viens lents et experts. Et tout ceci discrètement sous une table de restaurant. Une averse de grêle martelait les vitres, et les rafales de vent secouaient violemment les branches des arbres déjà en fleurs, et nous bien au chaud nous dégustions un repas de reine, en se tripotant le sexe l’une et l’autre. A l’arrivée du plateau de fromage, je conseillais à ma petite soumise de les goûter tous. Je fis signe à mon voisin d’en face que je considérai dédaigneusement comme une quantité négligeable d’emballer dans une serviette en papier, tous ce que la petite n’a pas pu manger, pour qu’elle puisse, les déguster plus tard. Mon index quitta son clitoris qui avait pris de la grandeur, pour venir en aide au majeur, puis se fut au tour de l’annulaire, puis enfin de l’auriculaire, de pénétrer dans cette chaude grotte, puis j’accélérai le mouvement pour aller de plus en plus vite, des gémissements étouffés sortaient de sa bouche, ce qui eut pour effet d’attirer l’attention du serveur, qui a souri, croyant à une plaisanterie, il était loin de se douter que pendant ce temps une chaude liqueur coulait dans ma main. Sous ma jupe le mouvement prenait également de la vitesse, et je ne puis retenir une puissante éjaculation, qui a fini sa course sur le pantalon du type qui nous a invité. Au bout de quelques minutes, la petite qui avait pas mal inondée ma main, me fit signe d’arrêter, je retirai ma main, pour la mettre à ma bouche, afin d’y goûter sa jouissance, mais elle me saisit la main brusquement pour la mettre aussitôt dans sa bouche, et de me la lécher, comme pour me dire merci. Comme par enchantement les desserts firent leurs magiques apparitions sur le plateau du serveur, une délicieuse tarte Tatin toute fumante fut servie avec grand sourire à ma petite soumise, puis toujours avec sourire et un clin d’œil furtif, mon sorbet aux fruits rouges garnis de crème Chantilly et de coulis de cassis, me fut servi, ensuite ce fut le tour du clafoutis de notre inviteur. Le champagne dans un sceau rempli de glace arriva aussitôt après. J’admirai ma chère et tendre soumise savourer sa tarte Tatin, j’en oubliai ainsi mon sorbet. Notre inviteur n’avait d’œil que pour moi, et en oubliait son clafoutis. Quand ma soumise eut terminé, je présentai devant sa si fine et si délicate bouche, une cuillérée de mon sorbet, je recommençai plusieurs fois le même geste, tout en lui effleurant ses orteils du bout de ma cuissarde, et en lui chuchotant à l’oreille, que si elle ne mangeait pas toute seule, maman allait lui mettre une bonne fessée au martinet. Je lui cédai la moitié de mon sorbet, notre inviteur en fit autant avec son clafoutis, pour ne pas passer pour un goujat vis-à-vis de nous, et pour se montrer galant. La petite se montra très friande du champagne, puisqu’à elle seule, elle vida les deux tiers de la bouteille. Ah on peut dire qu’elle en a bien profité de la gastronomie française. Après le café et le digestif, notre inviteur, alla chercher sa voiture, pour nous faire visiter Paris. Le vent s’était calmé, le soleil brillait, une multitude de petits moineaux chantaient, pendant ce temps nous nous enlacions, en se donnant de langoureux baisers, en attendant notre chauffeur. Tout à coup un coup de klaxon nous fit sursauter toutes les deux en même temps. Une ’R 12’ flambant neuve s’arrêta à notre autour. Le chauffeur nous ouvrit les portes arrières, nous aida à monter à l’intérieur, en nous faisons à chacune un baisemain galant, en prenant bien soin de refermer les portières. Puis il remonta dans sa voiture en nous demandons où ces demoiselles veulent se rendre. Je lui répondit d’un ton snob: « chauffeur, faites nous visiter cette si belle ville qui est Paris » Je débarrassai lentement l’anorak de ma petite partenaire, pour l’étaler sur nos genoux, permettant ainsi de cacher nos jeux de mains. Je ne compte plus les baisers que nous échangions. Je déboutonnai très lentement mon maxi manteau de cuir noir, laissant ainsi apparaître ma belle guêpière en cuir brillant noir, et laisser l’accès libre à l’exploration de mon corps. Je glissai doucement ma main de cuir sous le pull et le teeshirt de coton de ma petite soumise, qui se collait de plus en plus à moi, sa main ne resta pas inactive, je fus prise de cour, car elle fut la première à toucher mes mamelons qui raidissaient entre ses doigts de fée. Elle pris un air victorieux, en me narguant et en me disant, je les ai trouvé la première…Je lui écrasai les orteils nus, avec mes bottes, lui rappelant ainsi que c’était moi la Maîtresse, et je lui ai promis une punition sévère en arrivant. Enfin, ma main put enfin atteindre sa si jolie et si généreuse poitrine si ferme, emprisonnée dans un soutien gorge un peu trop serré. Je puis ainsi lui pincer les mamelons sans ménagement en lui disant. Moi aussi je les ai trouvé. Tantôt je les caressai avec très grande délicatesse, et tantôt je les torturai sadiquement sans ménagement. Une alternance de douceur et de sévérité, donnaient à ses mamelons une érectilité exceptionnellement forte. A l’approche de l’arc de triomphe, notre chauffeur lui fit un commentaire dessus. Moi voulant cette fois ci être la première, la conquérante, j’en profitai pour me baisser, lui descendre la fermeture éclair de son pantalon, lui faire descendre sa petite culotte blanche, pour enfin effleurer sa petite foufoune mal défendue par un nombre insuffisant de poils pubiens blonds clairs. Je me cachai quasiment sous son anorak, pour effectuer mes effleurements, et mes attouchements, de mes doigts gantés de cuir. Malgré l’épaisseur du cuir, je sentis quand même la chaleur d’une érection clitoridienne, qui me poussa en un premier temps à déposer furtivement mes lèvres sur ses petites lèvres vaginales, et ensuite de lui faire une magistrale coquetterie. Doucement le bout de ma langue fit plusieurs fois le tour de sa chaude grotte, tandis que je dégrafai la pression du haut de son pantalon. Ma langue s’enfonçait de plus en plus à l‘intérieur de ses lèvres, pour aller taquiner son clitoris à chaque tour, la réponse se fit entendre par des gémissements spasmodiques incontrôlés. Sa main poussa brusquement ma nuque pour m’inciter à aller plus profond, en me disant allez y belle Maîtresse, encore, plus fort. Cette fois ci ma langue s’attarda sur son clitoris, qui sortit se son capuchon, et que je dégustai par de très longues sucions. Bien bottée dans mes cuissardes, bien gantée, bien dans mon manteau de cuir et ma guêpière, j’avais la sensation d’être une puissante conquérante, qui possédait sa pauvre victime si mal chaussée et si mal vêtue, qui était mon jouet, ma chose, ma soubrette, ma petite esclave, que je faisais ce que je voulais d’elle. J’avais le pouvoir sur sa jouissance, je pouvais l’obliger à jouir n’importe quand n’importe où, et avec n’importe qui. Je disposai d’elle comme je le voulais, elle m’appartenait corps et âme. Son abondante mouille si chaude, que j’avalais de grâce comme une liqueur de très grande qualité, m’appartenait. Je ne voulais en perdre aucune goutte. Mais un coup de frein brusque, m’arracha de ma voluptueuse dégustation. Notre chauffeur nous conseilla de nous reboutonner, car il a aperçu un car de police stationner nous loin de nous. Quatre heure déjà ! Notre chauffeur nous invita dans un salon de thé, non loin des champs Elysée.
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